La cour d'appel à estimé que les licenciements étaient "sans cause réelle et sérieuse". Les 43 ex-salariés recevront de 8 à 12 mois de salaire pour chacun.
3 ans après la fermeture du site Henkel de Châlons-en-Champagne les ex-salariés ont dont obtenus gain de cause auprès de la justice.
L'entreprise de production d'adhésifs et colles (destinées aux marchés du papier et de l'emballage (enveloppe, papier à cigarettes…)) de Chalons-en-Champagne devait être transférée vers l'usine italienne de Zingonia et les sites allemands de Bopfingen et de Porta Westfalica.