Le 6 juillet 2003, la Corse votait non à la collectivité territoriale unique à 2000 voix près. Un score très serré qui a mis un terme aux réformes institutionnelles initiées d'abord par les accords de Matignon et voulues par Nicolas Sarkozy, ministre de l'intérieur de l'époque. Il voulait faire de l'Ile de beauté un "modèle de décentralisation". C'est la consultation populaire la plus proche du référendum alsacien du 7 avril prochain.