Une mesure destinée à sauver l'entreprise de Sarralbe selon le groupe Sotralenz mais qui passe mal chez des salariés qui doutent de l'avenir après un été industriellement morose.
Céder un à dix jours de congés annuels, c'est ce que le Groupe Sotralenz demande aux salariés de sa filière Secofab implantée à Sarralbe en Moselle.
Objectif : économiser près de deux millions d'euros pour un site industriel spécialisée dans les constructions métalliques, dont le déficit actuel annoncé est de six millions d'euros.
La proposition fait grincer les dents des 170 salariés dont certains déjà en chômage partiel, comme l'ont constaté Benoît Bour et Guy Souter :