Les couguars affrontent vendredi 11 avril 2014 (Gentilly 20h), le JDA Dijon. Les nancéiens vont devoir rebondir pour décrocher une place en finale de la coupe de France
"L’équipe est là, on n’est pas mort !" Alain Weiz, entraineur du SLUC Nancy basket.
Du soutien !
Après une défaite face à Strasbourg et un revers face aux joueurs manceaux les nancéiens vont devoir batailler et retrouver leur combativité. Pour l’occasion et soutenir les joueurs, le palais des sports Jean Weille de Gentilly devrait faire le plein. 450 enfants de la ville ont été invités et des tarifs préférentiels ont été proposés aux licenciés pour cette demi-finale.
De l’envie !
Et du soutien, les couguars en auront besoin pour affronter une équipe dijonnaise qui a fait preuve de talent et d’envie pour réaliser un parcours remarquable.
Nancy a galéré pour réussir à se hisser en demi finale en se débarrassant successivement de Charleville-Mézières (84-68), Strasbourg (62-52), Le Havre (88-74) et Le Mans (69-49).
Un objectif !
Ces deux dernières saisons, le SLUC n’est pas parvenu à dépasser les quarts de finale, battu à ce stade en 2011-2012 au Havre , un an après avoir été sorti par une formation de Pro B, Boulogne (103-87).
À l’instar de la JDA Dijon, Nancy n’est toujours pas assuré de participer aux play-offs, Sa défaite ce mardi 8 avril face au Mans en Pro A (62-68) laissant la formation d’Alain Weisz à la 8e place du classement, avec le même pourcentage que le 9e , Villeurbanne.