Attentat de Strasbourg : après le choc, la vague d'émotion

Que ce soit sur les réseaux sociaux ou dans les lieux emblématiques de la ville, une vague d'émotions et de solidarité a submergé Strasbourg. Nous sommes tous Strasbourg.

L'histoire se répète. Hélas. Après Paris et Nice, voilà Strasbourg au coeur de la violence brute et aveugle. Voilà Strasbourg dans toutes les têtes et sur toutes les lèvres. 


Des chats, des cigognes et des Pères-Noël

A chaque attentat, les réseaux sociaux se mobilisent. Strasbourg ne fait pas exception. Le tag #jeSuisStrasbourg a ainsi fait son apparition sur Twitter. Comme pour Charlie, comme pour Nice. Et les symboles alsaciens fleurissent sur la toile : cigognes, sapins de Noël et même Bretzels ou Knack. La cathédrale comme fer de lance de cet élan de solidarité.
 


Et dans une moindre mesure, les chatons, qui souvenez-vous avaient envahi le net suite aux attentats de Liège, repointent le bout de leurs moustaches.
 

Des larmes aussi


On retiendra aussi de cette journée, les larmes. Les larmes d'Alain Fontanel, premier adjoint de Strasbourg, lors de la conférence de presse à l'Hôtel de Ville.
Ou encore celles de Bruno Studer, député du Bas-Rhin, à l'Assemblée Nationale. Et cette minute de silence qui en dit long.

Une minute de silence respectée également au Parlement européen vers midi.

 

 

Des fleurs évidemment

Un peu partout en ville ont fleuri des bouquets. Accompagnés de mots de réconfort.
Rue des Orfèvres où il y eu des victimes.
Place Kléber, place emblématique de Strasbourg.
 

Même chose près de la place Broglie.
 
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