Installé à Strasbourg pour quelques jours, le cirque Arlette Gruss ouvre grand sa ménagerie pour tenter de clore le débat sur les conditions de vie des animaux de cirque.
50 bêtes composent la ménagerie du cirque Gruss. Pour montrer patte blanche, le cirque a décidé d'ouvrir sa ménagerie tous les jours.
L'idée étant de clore le débat à l'heure où de nombreuses pétitions et mobilisations sont lancées.
A Strasbourg, un collectif donne de la voix sur le web, One voice dénonce la souffrance des animaux.
En Alsace, plus généralement, c'est notamment l'association AnimAlsace qui dénonce les conditions de vie des animaux. Indignée elle dénonce quotidiennement l'exploitation des animaux.
Des polémiques qui, pour le moment, n'ont aucune répercution sur la fréquentation du cirque.