La justice a débouté mercredi 21 février 2018 des anciens mineurs de fer lorrains. La Cour de Cassation confirme la décision de la Cour d'appel de Nancy de 2016.
La cour de cassation a débouté mercredi 21 février 2018 des anciens mineurs de fer qui demandaient réparation du préjudice d’anxiété dont ils s’estiment victimes du fait de leur exposition à de multiples substances toxiques.
Pas de préjudice d'anxiété pour les mineurs de fer lorrains.
Établi en 2010 par la Cour de cassation, le préjudice d'anxiété se caractérise par une souffrance liée à la peur de tomber malade à cause d'une exposition passée à une substance dangereuse.
Aujourd'hui, le syndicat CFDT réfléchi à plusieurs actions. Saisir la Cour Européenne des droits de l'homme, ou mettre en cause l'Etat qui n'a pas protégé les mineurs.
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