Dans le cadre de Journée mondiale de la sclérose en plaques les 23 et 24 mai 2017, des étudiants de la Faculté des Sciences du Sports de Nancy accompagnent six personnes atteintes de la maladie pour un nouveau défi : s'immiscer sous terre et passer toute une nuit dans un bivouac. 

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Dans le cadre de Journée mondiale de la sclérose en plaques les 23 et 24 mai 2017, des étudiants de la Faculté des Sciences du Sports de Villers-lès-Nancy (54) accompagnent six personnes atteintes de la maladie pour un nouveau défi : s'immiscer sous terre et passer toute une nuit dans un bivouac.

Spéléologue d'un jour

Marc Kopp et cinq autres personnes atteintes de la sclérose en plaques relèveront un défi sportif pour la journée mondiale de la SEP 2017.

Une expédition souterraine est encadrée par les étudiants de la Faculté des Sciences du Sport de Nancy en partenariat avec l'Institut de soins infirmiers de Laxou. Elle est parrainée par Ségolène Neuville, ex-Secrétaire d'État chargée des personnes handicapées. 

Chaque descente se fera en binôme dans la grotte des Sept-Salles de Pierre La Treiche aux alentours de Toul. 
 



Des parcours pouvant aller juqu'à 400 mètres pourront être empruntés par ces néophytes d'après le Républicain Lorrain. C'est une première pour les malades atteints de SEP de se lancer dans une telle aventure. Ils passeront toute une nuit dans un bivouac calés entre les roches calcaires. 

La Sclérose en plaques, autrement


Plus qu'une expédition, ce défi est aussi une façon d'oublier cette maladie destructrice, et de voir la vie autrement. Marc Kopp, membre de la Parole SEP du Pays-Haut et participant au défi, a déjà accepté cet handicap après une phase de colère. 


J'ai décidé d'être un malade heureux


confie-t-il au Républicain Lorrain dans son interview. Il explique qu'il lui a fallu cinq ans avant de se reconstruire et apprendre à vivre en paix avec la maladie. En l'espace de quelque temps, ce longovicien de 58 ans, est passé d'un train de vie sportif à celui de sédentaire. À calculer et minimiser le moindre de ses pas.

À présent, il souhaite véhiculer un message d'espoir auprès des personnes atteintes de cette maladie à travers ses aventures. Il n'en est pas à son premier exploit d'après l'Est Républicain : en 2013, il a sauté en parachute en tandem à plus de 10.000 mètres d'altitude au dessus de l'Everest. 

Histoire de prendre un peu plus de hauteur. 

 

 


 

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