"Marie s'infiltre" rend hommage à Reims à sa manière, pour faire la pub de son nouveau spectacle dans la ville

Marie s'infiltre se produit vendredi 17 novembre, près de Reims. L'humoriste originaire de Paris a choisi de rendre hommage à sa façon à la sous-préfecture de la Marne. Un brin caustique, un brin nostalgique : sa vidéo d'une minute compile ce qui incarne et qui écorne Reims, avec franchise.

"Reims, je t’aime" : c’est ce que clame Marie s’infiltre dans une vidéo sur son compte Instagram. L’humoriste parisienne fait la promotion de sa tournée pour son dernier spectacle "Culot". Elle se produira le 17 novembre prochain, au K à Tinqueux, près de Reims (Marne).

Pendant un peu plus d’une minute, l’humoriste de 32 ans dresse l’inventaire de ce qui fait la gloire de la cité des Rois. Sans compter quelques piques sur la ville, et en n'oubliant pas malicieusement de rappeler la date de son spectacle.

Monuments, expressions locales, lieux emblématiques de soirée, souvenirs de lycée… Tout y passe et chacun en prend pour son grade. Voici quelques extraits qui devraient vous faire rire. Ou pas.

Hommage et piques incisives

La Parisienne de 32 ans ne prend pas de gants. Tout au long de cette vidéo, défilent ces lieux ou ces personnes qui incarnent, selon elle, Reims. Première pique décochée pour ceux qui ont l'habitude d'aller au marché, le dimanche : "Au marché du Boulingrin pour se réaffirmer en tant que bobos." Viennent ensuite des références pour les plus jeunes, à l'image du "kebab de fin de soirée à l'Istanbul, appréciables sur le moment, regrettables le lendemain", un peu plus tard dans la séquence.

Place ensuite aux fameuses expressions propres à la Champagne-Ardenne. "S'empierger", "passer la bâche" ou encore "s'entrucher", trois mots illustrés avec ironie par l'humoriste. Elle n'hésite pas à raviver de lointains souvenirs (heureux ou non, on vous laisse libres de juger) : les anciens bus de "la Tur, à carreaux noirs et jaunes", par exemple. Ou plus caustique, avec cette prétendue rivalité entre les lycées "Chagall ou Jean Jau, Clémenceau". Une phrase qu'elle termine par "alors là c'est compliqué, c'est des artistes bohèmes en classe de ciné, gauchos", dans son style caustique, avec un fond d'images d'une manifestation.

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Avant de conclure en envoyant une dernière missive à ceux qui disent s'entraîner "pour le marathon du 1er octobre (qu'ils ne feront) jamais", et d'inciter les lecteurs de la vidéo à "boire du champagne le 17 novembre, avec moi, je l'espère". Mais ça, c'est vous qui vous voyez. 

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