Et si Metz m'était contée ! Suivons Charles-Henry Boudet à la découverte de l'ancienne capitale lorraine. Et laissons nous surprendre par la poésie qui s'en dégage, laissant loin derrière elle l'image d'une cité à consonance germanique. Voici trois bonnes raisons pour vous convaincre.
1. Charles Henry dans tous ses états !
En short, d'abord en train de courir un petit trot, avec les hommes et les femmes qui préparent leur service militaire volontaire.En bottes ensuite avec Olivier dans des souterrains historiques et mystérieux (et non pas hystériques et mistorieux!) datant du Metz de la Seconde Guerre Mondiale.
Pris la main dans le plat à reprendre de la mirabelle lorraine dans les cuisines du pâtissier Buttner, l'une des bonnes adresse messines.
Il est sur tous les fronts, notre présentateur, et l'uniforme lui va si bien !
2. Danser au son du piano de la répétitrice
Je ne sais pas vous, mais moi, ayant vainement essayé de ne pas trop massacrer "La Lettre à Elise" au piano étant jeune, je suis toujours "bluffée" par les musiciens qui jouent de leur instrument, comme ils respirent. Comme Marie-Aurore la répétitrice du Ballet de l'Opéra de Metz. À écouter sans modération.
©France 3 Grand Est
3. Vivre une expérience totale et japonaise au Centre Pompidou Metz
Avec une installation étrange de l'artiste japonais Kohei Nawa, exposée au Centre Pompidou Metz, qui nous invite à la rêverie. Pour ensuite plonger dans les 18 kilomètres de bois qui composent la charpente-chapeau-chinois du musée créée par une autre japonais de talent, l'architecte Shigeru Ban.