113e édition du Paris-Roubaix dimanche, les organisateurs sont venus reconnaître les 27 secteurs pavés (52,7 km), il y en a un en moins au programme.
L'occasion de saluer ceux qui travaillent à leur restauration et découvrir quelques surprises qu'il faudra rectifier pour assurer la sécurité des coureurs dimanche, comme le montre ce reportage (à venir) de Céline Rousseaux et Bertrand Théry.
Dans le calme de la campagne cambrésienne, tout à coup, un cortège de voitures. Celle des organisateurs du Paris-Roubaix, dans la poussière, et les vibrations, ils sont venus repérer les 52 km de secteurs pavés qui les emmèneront jusqu'au Vélodrome de Roubaix. L'idée : se mettre dans l'ambiance de dimanche.
Et il y a du monde pour cette reconnaissance. La presse, les partenaires et un cycliste qui brave avant l'heure l'Enfer du Nord. Dimanche ils seront 200 à éviter les chutes sur ces pavés qui font la réputation de l'épreuve et qui sont soignés jusqu'à la dernière minute par les élèves des lycées horticoles. Et puis, secteur d'Haveluy, "une mauvaise surprise", le début du pavé Bernard Hinault, noyé dans une mare inattendue, il va falloir intervenir pour que dimanche tout soit en ordre.