La mobilisation contre la loi travail commence à faiblir. On a compté environ 3500 à Montpellier, 1000 à Nîmes et Béziers, 500 à Perpignan et 150 à Mende. Le mouvement se poursuit avec des Nuits debout organisées un peu partout dans la région.
Même révisée en commission parlementaire, ils ne veulent pas de la Loi Travail. Etudiants, chômeurs, lycéens, salariés, retraités ou précaires, les manifestants se sont rassemblés ce samedi dans plusieurs villes de la région pour rappeler leur opposition au ptojet de loi El Khomri. Pour la sixième fois en un mois.
Mobilisation en baisse
Ils étaient environ 3500 à Montpellier, 1000 à Nîmes et Béziers, 500 à Perpignan et 150 à Mende. La mobilisation marque quelques signes d'affaiblissement mais devrait se poursuivre avec des Nuits debout organisée un peu partout ce soir dans la région. Objectif pour les manifestants : continuer à faire pression sur le gouvernement.
Les députés de la commission des Affaires sociales ont terminé l'examen du texte, y apportant des modifications, notamment sur les mesures les plus polémiques : clarification des licenciements économiques, accords dits "offensifs", référendums d'entreprises... Prochaine étape : le texte sera débattu dans l'hémicycle à partir du 3 mai.