Fin janvier 2014, la corderie Mesnard a déclaré forfait en abandonnant son projet de faire revivre l'ancienne usine de la SA Bihr, dans lequel figurait le sauvetage de 90 emplois sur 167.
A Epinal, le 31 janvier 2013, les salariés de la SA Bihr apprennent que leur entreprise d’Uriménil est liquidée. 167 personnes se retrouvent sur le carreau.
Après la liquidation, Benoît Halbout de Rambervillers se positionne comme premier repreneur. La corderie Mesnard se met alors ensuite sur les rangs avant
de jeter l’éponge la semaine dernière.
Les histoires pas drôles n’ont jamais de fin, écrit Claude Girardet dans Vosges Matin. Celle vécue par les salariés, puis exsalariés, de la SA Bihr s’apparente à une série de bas étage.
Selon notre confrère, Benoît Halbout garde sa ligne de conduite en privilégiant l'embauche d'anciens salariés de Bihr, mais il est incapable de dire combien et dans quel délai.