La justice se penche pendant trois jours sur le meurtre de Monique Broult, retrouvée morte à son domicile le 9 décembre 2011. L'épouse du magnétiseur de Saint-Omer avait été tuée à coup de bûche. Son gendre est jugé à partir de lundi.
Les Assises qui s'ouvrent à partir de lundi à Caen doivent permettre de comprendre comment un juriste marocain a pu tuer sa belle-mère à coup de bûche, le 9 décembre 2011. Ce jour-là, vers 22h30 à Saint-Omer, Monique Broult est retrouvé morte, à son domicile, par son mari, le crâne fracassé.
L'enquête révèle que la septuagénaire a pu être la victime d'un cambriolage. Les soupçons se tournent vers son gendre, Naouffal Labbakh. Ce matin-là, il se serait rendu chez elle pour dérober 20.000 euros, contenus dans un coffre fort.
Naouffal Labbakh sera jugé pour vol avec violence ayant entraîné la mort. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Récit: Elise Ferret
Intervenant: Catherine Denis, procureur de Caen