C'est l'une des conclusions annoncées mercredi à Toulouse aux Rencontres Internationales Air-Climat-Santé.
Encore faudrait-il respecter les valeurs guides recommandées par l'Organisation Mondiale de la Santé, soit 10 microgrammes par m3 de particules fines. On gagnerait ainsi à Toulouse 7 mois d'espérance de vie.
Les principales causes de la pollution atmosphérique urbaine sont l'encombrement des axes routiers et le chauffage urbain. Cette pollution serait responsable de 1,3 millions de décès dans le monde.
Ces chiffres sont tirés d'une étude baptisée APHEKOM menée dans 25 villes européennes dont Toulouse.
Les Rencontres Internationales Air-Climat-Santé ont réuni des scientifiques internationaux, des décideurs économiques et politiques et des associations environnementales.