Le chef de l'Etat en déplacement en Aquitaine a affirmé implicitement que la Ligne Grande Vitesse entre Bordeaux et Toulouse se fera : "ça passera, parce que ça doit passer, parce que c'est l'avenir".
Dans un contexte où beaucoup s'interrogent sur l'avenir de la Ligne à Grande Vitesse entre Bordeaux et Toulouse, le président de la République a affirmé jeudi lors d'un déplacement à Bordeaux que "ça passera, parce que ça doit passer, parce que c'est l'avenir". Une petite phrase qui résonne comme un soutien au projet de LGV Bordeaux-Toulouse qui doit tout de même passer à la moulinette d'une commission chargée d'examiner le bien-fondé de certains grands projets d'infrastructures en cette période de disette budgétaire.