Comme l'hiver dernier, la ville de Toulouse a supprimé l'éclairage de certains bâtiments. Histoire de limiter la facture.
Tourisme oblige, les lieux les plus emblématiques comme le Capitole, la basilique Saint-Sernin ou le pont Neuf ne sont pas concernés par cette mesure d'économie. Les éclairages publics non plus, pour des questions de sécurité.
En revanche, la médiathèque, la statue de Paul Riquet en haut des allées Jean-Jaurès ou le viaduc de Jolimont ont vu, eux, leurs lumières s'éteindre. Une extinction qui veut soulager le réseau électrique pendant les pics hivernaux et qui ne durera que deux mois.
Pour le moment, l'économie se monterait à 10.000 euros pour la ville de Toulouse. La mairie espère diminuer sa facture d'électricité par deux d'ici 2020.
En juillet, les commerçants, eux aussi, vont être priés de faire un effort. Les magasins fermés la nuit seront, à cette date, priés d'éteindre les lumières.