Rosa, rosa, rosam, rosae, souvenir de latin ou plus simplement, évocation de ces vins rosés dont on aime voir la robe dans nos verres. Le rosé longtemps considéré comme un vin secondaire indigne de l'intérêt de l'œnologue, s'invite désormais sur toutes les tables.
Le rosé connaît un engouement grandissant de la part des consommateurs.Le travail de marketing des producteurs de rosé touche un nouveau public, plus particulièrement les jeunes.
Rosé framboise, rosé pamplemousse, ces nouvelles gammes de vin rosé prennent une place de plus en plus importante à l'heure de l' apéro et dans les rayons des supermarchés.
Pendant la période estivale, la vente du vin couleur grenadine connaît des pics de vente de plus en plus marqués et le mauvais temps de cet été n'a pas changé la couleur du vin.
Petit à petit, la mauvaise réputation du rosé commence à disparaître. Les grilles de sélection des spiritueux sont en effet de plus en plus rigoureuses, certains rosés peuvent se vendre jusqu'à 70 euros l'unité.
Et le Languedoc-Roussillon grapille des parts de marché à la Provence, il représente 10 % de la production des vins rosés français.
Reportage : S.Banus et F.Detranchant
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