Les cartes d'essence n'étant soit-disant pas dimensionnées pour le bolide, la voiture serait repartie vers son concessionnaire.
Ce post facebook de la gendarmerie de l'Aude disant que les militaires audois avaient dû renoncer à l'Alpine A110 car leurs cartes d'essence n'étaient pas dimensionnées pour le bolide a fait le buzz.
Humour
"Il s'agit en fait d'un clin d'oeil", précise Jean-François Perreaux chef d'escadron de la compagnie de gendarmerie de Carcassonne"."Ces véhicules ne sont pas adaptés aux compagnies de gendarmerie mais affectés aux pelotons autoroutiers, ceux qui ont besoin de voitures rapides pour traquer les automobilistes qui ne respecteraient pas les limitations de vitesse et les obliger à s'arrêter sur le bas-côté", ajoute le chef d'escadron de Carcassonne.Ces véhicules ne sont pas adaptés aux compagnies de gendarmerie mais affectés aux pelotons autoroutiers .
L'information a cependant été reprise par 20 minutes et relayée ensuite par d'autres médias. Ce qui est vrai en revanche, c'est que la gendarmerie a un lien historique avec Renault et ses Alpine 110.
En 1967, les gendarmes de BRI (brigades d'intervention rapide) ont été dotés de ces bolides puissants, tout-à-fait à même d'intercepter les automobilistes en excès de vitesse.
Les gendarmes de l'Aude devront se contenter de Megane RS, plus puissantes mais sans aucun doute bien moins racées que les Alpines.#securiteroutiere En 1967 le #Var fait partie des 1° départements à recevoir un véhicule rapide d'intervention (VRI). La @Gendarmerie ?♂️s'équipe de véhicules adaptés à l'interception des grands excès de vitesse depuis l'#Alpine #A110 jusqu'à la @Renault_fr Mégane RS3 ? pic.twitter.com/yT9bvuUX1p
— Gendarmerie du Var (@Gendarmerie_83) 11 mars 2019