Depuis trois étés consécutifs, les vignerons de la région surfent sur la vague des vins aromatisés. Ils n'hésitent plus à se lancer dans ce créneau très porteur : la consommation est passée de 4 à 20 millions de litres en 3 ans.
Parfumés au pamplemousse, à la pêche ou à l'ananas, ces vins sucrée tournent autour des 7 à 8 degrés d'alcool et se vendent beaucoup dans le sud en été. La consommation a été multipliée par cinq en 3 ans, mais le phénomène reste très français.