Face à ces attaques, les éleveurs se sentent démunis, c’est pourquoi ce matin ils ont décidé d’exprimer leur inquiétude en frappant fort. Ils ont amené 300 brebis devant la préfecture.
Les premières attaques ont commencé en mai 2017, et ça continue en permanence. Je me suis encore fait attaquer hier soir, j’ai retrouvé une brebis morte avec son veau à côté, et elle était égorgée. Il faut protéger les troupeaux, donc ça nous demande du travail en plus, confie un éleveur du Gard.
Quelques éleveurs étaient reçus à la Préfecture pour demander plus de moyens techniques mais ils veulent aussi l’intervention d’une brigade loup pour mettre fin à sa prédation.