La fin des contrats aidés signifierait la fin des crèches associatives. Des structures dont la moitiés des personnels sont passés par le contrat aidé, des personnels qui après avoir bénéficié d'une formation et ont été embauchés. Exemple à Rodilhan, dans le Gard.

Société
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L'accueil matinal chez les Poussins de Rodilhan (crèche associative de dix employés et qui s'occupent de 18 enfants). Cette scène pourrait bien n'être bientôt qu'un souvenir Faute d'emplois aidés la crèche pourrait fermer ses portes. Les parents sont inquiets. 

Parents inquiets

Près de la moitié des employés de cette crèche sont ou ont été en emplois aidés. C'est le cas de Carole Gascon. Ces  dernières années passées à se former ici vont lui permettre de passer un diplôme. Peut-être pas d'accéder à un emploi.

15 à 20 % du budget


Les emplois aidés représentent une part importante, 15 à 20 % du budget de ces crèches. La disparition des emplois aidés signerait l'arrêt de mort de ces structures d'accueil qui n'ont pas ménagé leurs efforts ces dernières années Il y a 50 crèches associatives dans le Gard pour une capacité d'accueil de 1500 places.

 

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