Elections départementales : dans le Gers, la droite veut la sanction du gouvernement mais le PS local est "serein"

Dans le département du Gers, Philippe Martin (PS), président du Conseil général depuis 17 ans affiche sa sérénité face à une droite offensive et à l'arrivée du Front national sur l'échiquier politique. 

Dans le conseil général sortant dans le Gers, on compte 26 élus de gauche et 5 de droite. Que se passera-t-il après les élections départementales des 22 et 29 mars prochains ? 

Philippe Martin, président PS du département depuis 1998 (à l'exception des 9 mois où il fut ministre de l'écologie) affiche sa sérenité. Il croit en un vote local sur son bilan. 

A droite, malgré quelques divisions, on espère que les électeurs gersois vont sanctionner la politique du gouvernement. Gérard Dubrac (UMP) compte sur "un vote politique". 

Il faudra également compter avec les élus du Front de gauche présents sur 10 des 17 nouveaux cantons. Et sur le Front National, qui estime être en mesure de se maintenir au second tour dans 4 des 8 cantons où il présente des candidats.

EN VIDEO / les enjeux dans le Gers


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