A Toulouse, les niveaux de pollution atmosphérique se sont stabilisés grâce au développement des transports en commun ou du vélo. Ce sont les résultats d'une étude de l'ORAMIP sur l'évolution de la qualité de l'air en ville, publiée mardi matin.
L'étude éditée par l'ORAMIP confirme une première analyse de 2008.
C'est bien le métro qui est le meilleur moyen de se déplacer pour mieux respirer et c'est dans l'habitacle d'une voiture aux heures de pointe que nous sommes le plus exposés aux polluants.
En effet, le taux de dioxyde d'azote et de particules fines y est particulièrement élevé, dangereux pour notre santé.
Il n'a pourtant pas augmenté depuis dix ans.
Quotidiennement, à l'échelle de l'agglomération toulousaine, , nous réalisons plus de 610 000 déplacements.
Pour minimiser son exposition à la pollution atmosphérique, il vonvient de s'éloigner de ses sources.
L'ORAMIP préconise l'aménagement pour les piétons et les cyclistes de l'espace public éloigné des principaux axes de pollution.
Vidéo : Odile Debacker