Les opposants à la vente de l'aéroport Toulouse-Blagnac à un consortium Chinois et canadiens ne baissent pas les bras. Ils s'organisent même de plus en plus pour faire valoir leurs arguments avant qu'aucun recours ne soit plus possible.
L'annonce de la cession par l'Etat de 49,9% du capital de la gestion de l'aéroport de Toulouse-Blagnac à des investisseurs chinois déclenche une levée de boucliers. Le 6eme aéroport français abrite également les usines et les pistes d'essai d'Airbus. La cession s'est faite dans des conditions dénoncées par les opposants parmi lesquels beaucoup de riverains qui craignent pour une dégradation de leurs conditions de vie.