La société de sondages française BVA a été placée en redressement judiciaire le 5 juin, et le tribunal de commerce de Toulouse tranchera mardi entre quatre offres de reprise. 500 emplois sont concernés au siège de la société à Balma
Le tribunal de commerce de Toulouse a examiner les 4 offres de reprise pour la socièté de sondages BVA dont le siège est à Balma près de Toulouse.
Le management actuel et les salariés du Groupe BVA ont adressé une offre de reprise, baptisée XPage, qui maintient la totalité des emplois au sein du groupe.
Le fonds de dette anglais Alcentra, un créancier de BVA, a également formulé une offre. De même que la société française Dentressangle, propriétaire de l'Ifop, et un
entrepreneur toulousain.
Communiqué de presse CSE UES #BVAhttps://t.co/ouXLSRSbXw pic.twitter.com/tSoNNTKHzk
— FIECI CFE-CGC (@FIECI) September 8, 2020
La direction actuel de BVA redoute que le tribunal de commerce préfère l'offre d'Alcentra qui pourrait délocaliser son siège au Luxembourg et la direction en Angleterre.
Mercredi, le tribunal de commerce de Toulouse a examiné les quatre dossiers de reprise et rendra sa décision mardi 15 septembre
Fondé il y a 50 ans, le Groupe BVA compte un millier de salariés, dont 500 dans son siège de Balma près de Toulouse.