Un commando ouvre le feu dans un bar de Toulouse : un mort

Plusieurs hommes armés ont ouvert le feu dans la nuit de mardi à mercredi sur un homme attablé au "Tout va bien" faubourg Bonnefoy. Un quadragénaire, connu des services de police, a été hospitalisé dans un état de mort cérébrale. Il est décédé peu après. Un autre homme a été grièvement blessé.

C'est une scène digne des films policiers ou des grands classiques des règlements de comptes mafieux ! Un groupe de plusieurs hommes armés, trois ou quatre selon les témoins, ont pénétré dans la nuit de mardi à mercredi dans le bar "Le Tout Va Bien", près du Faubourg Bonnefoy à Toulouse et ont ouvert le feu sur un homme attablé au fond de l'établissement, a-t-on appris de source policière.

Les agresseurs ont ouvert le feu à plusieurs reprises puis ont pris la fuite dans plusieurs véhicules stationnés à proximité.

La victime, un homme de 40 ans, connu des services de police notamment pour des faits de trafic de stupéfiants, a été prise en charge par les secours. Il a été hospitalisé dans un état critique au CHU de Purpan et y est décédé ce mercredi matin, selon le Parquet de Toulouse, joint par téléphone. Une enquête pour "homicide volontaire aggravé" a été ouverte et confiée au SRPJ de Toulouse et une autopsie de la victime doit être pratiquée ce mercredi. Pour le Parquet, cette affaire s'inscrit "manifestement dans le cadre d'un règlement de compte". 

Par ailleurs, un deuxième homme a été transporté dans la nuit de mardi à mercredi à l'hôpital de Toulouse, grièvement blessé par balles. Il a été placé en coma artificiel et n'a pas pu pour l'instant être interrogé par les enquêteurs qui ignorent pour l'instant si ces deux affaires sont liées.

L'actualité "Faits divers" vous intéresse ? Continuez votre exploration et découvrez d'autres thématiques dans notre newsletter quotidienne.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
choisir une région
Occitanie
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité