Du 18 au 22 avril, Lourdes attend plus de 10 000 pèlerins du "Fraternel" venus des diocèses d'Ile-de-France. La grève SNCF inquiète les organisateurs
Interrogé par le journal "La Croix", le secrétaire général du Fraternel, Raphaël Arenou, s'est écrié "Pour être poli, on est dans la panade".
Jusqu'à présent, une année sur deux, près de 10 000 jeunes partant des huit diocèses d'Ile-de-France arrivent à Lourdes pour ce pélerinage du FRAT accompagnés de près de 1500 encadrants.
Cette année, les organisateurs se posent des questions et éprouvent de grosses inquiétudes.
"Pour être poli, on est dans la panade"
En guise de remplacement, les cars
Il est toujours possible de remplacer les trains par des autocars, ou du moins, on peut toujours essayer.
La difficulté, c'est que les cars ne sont pas aussi bien équipés que les trains. Après quelques modifications, quelques aménagements, un car peut embarquer six ou sept malades, pas beaucoup plus.
Les négociations avec la SNCF continuent
Le FRAT aurait obtenu deux trains de la SNCF alors que d'habitude, elle en propose huit.
Des dizaines de car devraient être affrétés.
En 2016, 400 trains de pèlerinages, tout pèlerinages confondus, ont été mis à disposition par la Direction des affrètements voyageurs SNCF