Le président du MHR, Mohed Altrad, a précisé que sa position était "plus mesurée" qu'une "totale opposition" aux accords sur la mise à disposition des internationaux passés entre la Fédération (FFR) et la Ligue (LNR) françaises.
La question des contrats fédéraux
Altrad n'était "pas présent" le 7 mars après-midi quand "la question des contrats fédéraux a été soumise au vote" car il participait à une conférence de presse de parrainage de son entreprise à la candidature de la France au Mondial-2023. Il "regrette" donc que son vote soit "induit" dans le communiqué de la LNR qui fait état d'une "totale opposition" des présidents à l'accord FFR-LNR moins deux dirigeants, ceux de Toulon et Bayonne."Sur le fond" de la question, Altrad explique que "si les parties n'acceptent pas de travailler et dialoguer", le rugby français risque de se diriger vers "une crise". Le président du MHR se dit "disposé à travailler à la construction d'un projet commun qui permettra à la LNR de préserver l'intérêt des clubs dans leur modèle économique et aussi à la FFR de reconduire les différentes équipes de France vers le succès".Préserver l'intérêt des clubs dans leur modèle économique et aussi à la FFR de reconduire les différentes équipes de France vers le succès