Etudiant tué par balle à Montpellier : les trois personnes mises en examen pour meurtre placées sous contrôle judiciaire

Lundi 5 octobre, dans la soirée, un jeune homme a été tué par balle dans une résidence étudiante, quartier des grisettes à Montpellier. Les trois autres personnes qui se trouvaient avec lui dans l'appartement ont été mises en examen pour meurtre et détention d'arme pour l'une d'entre elles. 

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Présentées au parquet ce mercredi 7 octobre, les 3 personnes placées en garde à vue après le décès d'un étudiant, ont été mises en examen pour meurtre. La détention d'arme a aussi été retenue comme chef d'inculpation pour l'une d'entre elles. Elles ont été placées sous contrôle judiciaire par le juge des libertés et de la détention (JLD).

L'étudiant est décédé après avoir reçu une balle dans la nuque, lundi 5 octobre au soir. Il était dans une chambre d'une résidence étudiante située dans le quartier des grisettes à Montpellier. Il avait 26 ans.

Au moment des faits, quatre personnes étaient présentes dans l'appartement de la résidence étudiante : la victime, deux autres hommes et une femme.  Parmi eux, deux sont âgés d'une vingtaine d'années, comme la victime, tandis que le dernier a une trentaine d'années.
  

"Les circonstances des faits apparaissent particulièrement confuses"

Le procureur de la République, Fabrice Bélargent, procureur de la République de Montpellier a déclaré ce jeudi 8 octobre : « les circonstances des faits apparaissent encore particulièrement confuses. La thèse d'un tir accidentel émanant de la personne décédée est soutenue par les trois protagonistes en garde à vue. L'autopsie n'est pas conclusive, ni dans le sens d'un acte volontaire, ni dans celui d'un tir accidentel ».
 

L'autopsie n'est pas conclusive, ni dans le sens d'un acte volontaire, ni dans celui d'un tir accidentel

Fabrice Bélargent, procureur de la République de Montpellier



Une arme à feu a été retrouvée dans le véhicule de l'un des mis en cause et la somme de 20 000€ a été découverte dans l'appartement. 

Une information judiciaire a été ouverte et l'enquête se poursuit pour préciser les circonstances de ce drame.
 
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information