La ville a jugé que certaines zones n'étaient pas bien surveillées par les caméras. 17 secteurs ont été équipés de vidéosurveillance notamment pour faciliter le travail des policiers.
311. C'est le nombre de caméras qui seront en état de marche à partir de la fin d'année à Montpellier. La ville a décidé d'en installer 17 nouvelles en ce début de semaine dans "des secteurs prioritaires". Le coût de l'opération s'élèverait à 340 000 €.
Orientées vers le tunnel de la Comédie elles contribuent parfois à la fluidité de la circulation. Depuis février 2016, le système vidéo permet de verbaliser les conducteurs.
La première phase concerne les entrées de ville et les axes majeurs dans la perspective d’augmenter la vidéoverbalisation, a indiqué Marie-Hélène Santarelli, déléguée à la sécurité, deux caméras supplémentaires permettront de lutter contre le stationnement sauvage au pied de l’Arc de Triomphe.
Ces caméras sont gérés par le Centre d'information et de commandement de la police nationale et le Centre opérationnel de commandement de la police municipale. Elles tournent 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 en liaison permanente le centre.
17 secteurs prioritaires
- Rond-Point Benjamin Franklin (1 caméra)
- Avenue de la Pompignane (Hôtel de Région) - rue Pequet (2 caméras)
- Avenue de Lodève - rue Draparnaud (1 caméra)
- Avant-place Royale du Peyrou (2 caméras)
- Rue de Verdun - Rockstore (1 caméra)
- Domaine de Grammont - rue des Marels (1 caméra)
- Renforcement d'équipements - Petit Bard - place des Pruneliers (1 caméra)
- Renforcement d'équipement -Mosson - rues de Bari, de Lausanne et d'Uppsala (2 caméras)
- Port Marianne - avenue T. De Méricourt, rue W. Maathai (1 caméra)
- Rond-Point Maurice Gennevaux (1 caméra)
- Avenue François Delmas - Avenue de la Reine Hélène d'Italie (1 caméra)
- Renforcement d'équipement -Cévennes - Impasse des Mourgues (1 caméra)
- Les Grisettes - Ramblas des Calissons - rue de a Madeleine (2 caméras)