Si le masque n'est plus obligatoire en extérieur depuis le 2 février, ce n'était pas le cas pour les remontées mécaniques. Cette contrainte sanitaire vient d'être levée. Depuis le mercredi 9 février, on peut donc utiliser les remontées mécaniques extérieures sans le masque.
Alors qu'il était jusque-là nécessaire sur les télésièges et les téléskis et dans les files d'attente, le masque n'est plus obligatoire depuis le 9 février. Il est toutefois recommandé et il reste obligatoire dans les remontées mécaniques fermées.
Lors de la descente des pistes, le masque n'est pas obligatoire, comme lors de la pratique de n'importe quelle activité sportive.
Une première annonce confuse
Depuis le début du mois de février, le port du masque n'est plus obligatoire en extérieur comme l'a annoncé le Premier ministre le 20 janvier. Mais rien ne précisait ce qu'il en était pour les remontées mécaniques.
Le port du masque ne sera plus obligatoire pour emprunter les remontées mécaniques dans les stations de ski mais son port restera recommandé.
Le régime des remontées mécaniques à véhicules ouverts est donc désormais aligné avec la suppression du masque en extérieur.
C'est le ministère du Tourisme qui a publié ce mercredi 9 février, un nouveau protocole sanitaire valable sur les domaines skiables en France :
Le port du masque reste obligatoire dès 6 ans dans les endroits clos, mais ne l'est plus pour l'usage des télésièges ou téléskis. Les skieurs doivent toujours être en mesure de présenter un pass vaccinal ou sanitaire valide
Ministère du tourisme
"Des vacances plus sereines"
Cette annonce est une excellente nouvelle dans toutes les stations de ski. Joint par téléphone, Laurent Garcia, le directeur de la station de Peyragudes, entre les Hautes-Pyrénées et la Haute-Garonne, est plus serein.
La saison continue de la meilleure des manières... Les vacanciers peuvent se réjouir de ces nouvelles dispositions.
Laurent Garcia, directeur de la station de Peyragudes
L’exploitant des remontées mécaniques doit de plus veiller, dans la mesure du possible, à la distanciation physique des usagers, en tenant compte des contraintes propres à chaque moyen de transport.