Dans un article paru le 20 avril dans "Libération", le patron des Radicaux de gauche, après avoir perdu la présidence du Conseil Départemental du Tarn-et-Garonne dénonce ceux qui l'ont trahi, une trahison digne "des doges de Venise".
Dépossédé de son mandat de sénateur par son ancien bras droit Yvon Collin, éjecté de la présidence du Conseil départemental du Tarn-et-Garonne par une coalition de faux amis , Jean-Michel Baylet ne décolère pas dans un article paru dans le journal Libération.
Dans la foulée, il dénonce Yvon Collin qui aurait ligué ses opposants, Christian Astruc (le nouveau président du Tarn-et-Garonne) apparenté PRG, "un type que j'avais lancé en politique", Jean-Philippe Bésiers, maire de Castelsarrazin, qui lui avait pourtant juré fidélité "les yeux dans les yeux devant son chauffeur" la veille du scrutin et qui a "fait l'inverse le lendemain".
Selon Libération, c'est avec le sourire qu'il évoque le Conseil d'Etat "qui va rendre inéligible madame Barèges et la destituer de sa mairie de Montauban" (en fait le Conseil d'Etat n'a pas encore publié sa décision qui est attendue dès la mi-mai).