En marge d'une rencontre présidentielle, Emmanuel Macron a glissé un message de soutien à l'Olympique de Marseille qui affronte l'Atalanta Bergame jeudi en demi-finale aller de Ligue Europa.
Supporter n°1 de l'Olympique de Marseille ? Mardi 30 avril, alors qu'il recevait à l'Elysée le président de la République démocratique du Congo Félix Tshisekedi, Emmanuel Macron a eu un mot pour les joueurs olympiens qui s'apprêtent à vivre la demi-finale aller de Ligue Europa. Le message d'encouragement s'adressait plus précisément à Chancel Mbemba, l'international congolais :
"Dans le domaine sportif, nombre de grands sportifs congolais jouent en France, à commencer par le capitaine des Léopards, Chancel Mbemba, à qui je souhaite le meilleur pour le match de jeudi avec l'OM", a déclaré le président de la République avec le sourire. (Extrait à 4'24').
EN DIRECT | Conférence de presse conjointe du Président @EmmanuelMacron et du Président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi. https://t.co/mJgozirU5h
— Élysée (@Elysee) April 30, 2024
Ce n'est pas la première preuve d'amour que le Président envoie au club marseillais. En 2017, Emmanuel Macron avait posé avec un maillot de l'OM aux côtés de Gregory Sertic lors de ses vacances dans la cité phocéenne.
Voir cette publication sur Instagram
Dans le documentaire "Les coulisse d'une victoire" diffusé sur TF1 en 2017, une scène montrait le chef de l'État très déçu en apprenant une défaite de l'OM. "Oh merde... Deuxième fois, putain ! (...) Monaco a encore battu l'OM".
Dispositif de sécurité renforcé au Vélodrome
Ce jeudi 2 mai, l'OM reçoit l'Atalanta Bergame au Vélodrome en demi-finale aller de Ligue Europa. Une rencontre qui s'annonce bouillante, et à laquelle la préfecture de police s'est préparée en conséquences.
Pour faire face à la venue de près de 3 000 supporters italiens dont 200 à 300 considérés "à risques", rapporte RMC Sport, près de 1 000 policiers seront mobilisés. Les forces de l'ordre craignent des affrontements entre une minorité de supporters marseillais et italiens. Comme, hélas, à l'accoutumée.
