Page été du 25 juillet. Cette ancienne carrière fournissait des pierres pour les plus beaux monuments de la région. Elle a été abandonnée pendant un siècle... avant d'etre réhabilitée en parcours d'aventure.
Une cavité hybride, ouverte sur l’extérieur, où le soleil vient trancher l’ombre de la carrière, créant des contrastes saisissants. Bienvenue dans le monde des araignées au plafond : pont de singe, mur d’escalade, saut pendulaire, tyrolienne… il y a de tout dans ces 1 415 m de parcours d’aventure sécurisé, avalisé par un bureau d’études de géologues, et s’étendant à 95 % sous le ciel de la carrière. Comme l’explique François, au propre comme au figuré, « le but, c’est de ne jamais toucher le sol ».
Quand il a découvert la carrière de Champ-Retard, ce professionnel des événements en hauteur, passionné d’escalade, a tout de suite vu ce qu’il pourrait en faire : « un lieu ouvert toute l’année, à la fois culturel et sportif, en constante évolution ». Dans sa démarche d’ouverture au plus grand nombre, il envisage même de rendre son parcours accessible aux handicapés. Pendant que les aventuriers se font des sensations sous le plafond, les moins téméraires peuvent profiter d’une buvette chauffée en hiver. « Mais pour la plupart, assure François, à 90 %, les gens essaient et en sont fiers. »Une cavité hybride, ouverte sur l’extérieur, où le soleil vient trancher l’ombre de la carrière, créant des contrastes saisissants. Bienvenue dans le monde des araignées au plafond : pont de singe, mur d’escalade, saut pendulaire, tyrolienne… il y a de tout dans ces 1 415 m de parcours d’aventure sécurisé, avalisé par un bureau d’études de géologues, et s’étendant à 95 % sous le ciel de la carrière. Comme l’explique François, au propre comme au figuré, « le but, c’est de ne jamais toucher le sol ».
Quand il a découvert la carrière de Champ-Retard, ce professionnel des événements en hauteur, passionné d’escalade, a tout de suite vu ce qu’il pourrait en faire : « un lieu ouvert toute l’année, à la fois culturel et sportif, en constante évolution ». Dans sa démarche d’ouverture au plus grand nombre, il envisage même de rendre son parcours accessible aux handicapés. Pendant que les aventuriers se font des sensations sous le plafond, les moins téméraires peuvent profiter d’une buvette chauffée en hiver. « Mais pour la plupart, assure François, à 90 %, les gens essaient et en sont fiers. »
Une cavité hybride, ouverte sur l’extérieur, où le soleil vient trancher l’ombre de la carrière, créant des contrastes saisissants. Bienvenue dans le monde des araignées au plafond : pont de singe, mur d’escalade, saut pendulaire, tyrolienne… il y a de tout dans ces 1 415 m de parcours d’aventure sécurisé, avalisé par un bureau d’études de géologues, et s’étendant à 95 % sous le ciel de la carrière. Comme l’explique François, au propre comme au figuré, « le but, c’est de ne jamais toucher le sol ».
Quand il a découvert la carrière de Champ-Retard, ce professionnel des événements en hauteur, passionné d’escalade, a tout de suite vu ce qu’il pourrait en faire : « un lieu ouvert toute l’année, à la fois culturel et sportif, en constante évolution ». Dans sa démarche d’ouverture au plus grand nombre, il envisage même de rendre son parcours accessible aux handicapés. Pendant que les aventuriers se font des sensations sous le plafond, les moins téméraires peuvent profiter d’une buvette chauffée en hiver. « Mais pour la plupart, assure François, à 90 %, les gens essaient et en sont fiers. »
Reportage Renaud Gardette, Damien Rabeisen, Samuel Verrier.
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