Le feuilleton de la fusillade de mercredi au bar le Central à Audincourt s'achève par deux mises en examen : tentative d'assassinat et complicité de tentative d'assassinat.
Les deux hommes s'étaient présentés spontanément au commissariat pour se dédouaner de toute implication dans la fusillade qui a eu lieu mercredi au bar le Central d'Audincourt. Mais confondus par divers témoignages et des images de vidéosurveillance, ils ont été confondus et mis en examen.
Le premier, âgé de 34 ans, est accusé de tentative d'assassinat. Il a été placé en détention provisoire. Le second, qui servait de chauffeur, est mis en examen pour tentative d'assassinat. Il a été placé sous contrôle judiciaire.
Premier épisode : la fusillade
Mercredi 1er août, à 17 heures 30, un homme armé avait fait irruption dans le bar "Le Central" situé à Audincourt. Il avait tiré à plusieurs reprises sur le gérant de l'établissement, le blessant à la cuisse. La victime avait été soignée à l'hôpital dont elle est ressortie rapidement. D'après nos ocnfrères du Pays, une querelle amoureuse avec une serveuse du bar pourrait être à l'origine de cette violence.
Deuxième épisode : rendez-vous au commissariat
Dans la soirée de jeudi, deux hommes s'étaient alors présentés au commissariat de police de Montbéliard. Agés de 34 et 40 ans, ils habitent tous les deux dans le Pays de Montbéliard, l'un à Seloncourt, l'autre à Audincourt. Ils ont affirmé vouloir "s'expliquer" sur les circonstances et ont nié être les auteurs des coups de feu. L'un des deux hommes avait même fourni un alibi. Mais ils étaient défavorablement connus des services de police pour des faits de violence. Les images de la vidéo-surveillance, qui se trouve dans la rue, avaient ensuite été visionnées par les enquêteurs.
Réaction du sénateur-maire, Martial Bourquin
Le bar "Le Central" semble être connu pour différentes nuisances. Après cette affaire qui aurait pu tourner au drame, Martial Bourquin, le sénateur-maire d'Audincourt, s'est adressé à Madame le procureur de Montbéliard. Il est très en colère et craint que des faits similaires se reproduisent, de manière beaucoup plus grave. Il ne demande rien de moins que la fermeture de ce bar.
Les deux hommes s'étaient présentés spontanément au commissariat pour se dédouaner de toute implication dans la fusillade qui a eu lieu mercredi au bar le Central d'Audincourt. Mais confondus par divers témoignages et des images de vidéosurveillance, ils ont été confondus et mis en examen.
Le premier, âgé de 34 ans, est accusé de tentative d'assassinat. Il a été placé en détention provisoire. Le second, qui servait de chauffeur, est mis en examen pour tentative d'assassinat. Il a été placé sous contrôle judiciaire.
Premier épisode : la fusillade
Mercredi 1er août, à 17 heures 30, un homme armé avait fait irruption dans le bar "Le Central" situé à Audincourt. Il avait tiré à plusieurs reprises sur le gérant de l'établissement, le blessant à la cuisse. La victime avait été soignée à l'hôpital dont elle est ressortie rapidement. D'après nos ocnfrères du Pays, une querelle amoureuse avec une serveuse du bar pourrait être à l'origine de cette violence.
Deuxième épisode : rendez-vous au commissariat
Dans la soirée de jeudi, deux hommes s'étaient alors présentés au commissariat de police de Montbéliard. Agés de 34 et 40 ans, ils habitent tous les deux dans le Pays de Montbéliard, l'un à Seloncourt, l'autre à Audincourt. Ils ont affirmé vouloir "s'expliquer" sur les circonstances et ont nié être les auteurs des coups de feu. L'un des deux hommes avait même fourni un alibi. Mais ils étaient défavorablement connus des services de police pour des faits de violence. Les images de la vidéo-surveillance, qui se trouve dans la rue, avaient ensuite été visionnées par les enquêteurs.
Réaction du sénateur-maire, Martial Bourquin
Le bar "Le Central" semble être connu pour différentes nuisances. Après cette affaire qui aurait pu tourner au drame, Martial Bourquin, le sénateur-maire d'Audincourt, s'est adressé à Madame le procureur de Montbéliard. Il est très en colère et craint que des faits similaires se reproduisent, de manière beaucoup plus grave. Il ne demande rien de moins que la fermeture de ce bar.