Malgré l'arrivée d'un nouvel arrivant dans le quartier Clémenceau à Dijon, en la personne du compositeur dijonnais Jean-Philippe Rameau, du moins, de sa statue, il semblerait que le quartier soit en perte de vitesse. Ses commerçants constatent un manque de dynamisme dans le quartier.

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Rameau déplacé, Rameau relocalisé

La statue du compositeur dijonnnais Jean-Philippe Rameau (25 septembre 1683 - 12 septembre 1764) a quitté le centre-ville historique pour rejoindre le quartier Clémenceau, et trôner devant le conservatoire de musique à rayonnement régional.

Nouvelle orientation du quartier

Cette arrivée de la statue permet de renforcer la vocation artistique du quartier : le conservatoire de musique et l'Auditorium sont les structures emblématiques du quartier.
Il y a aussi la cité judiciaire, infrastructure importante à Dijon.

Perte de vitesse, manque de dynamisme

Les commerçants du quartier regrettent le manque de dynamisme économique. Au centre commercial Clémenceau, des espaces commerciaux sont vacants et les prix des baux sont élevés.
"L'effet tram" n'a pas eu lieu, au contraire. Le quartier est situé entre deux stations principales, République et Auditorium, mais le chiffre d'affaires a baissé de 20% pour certains commerçants.

Le reportage d'Isabelle Rivierre et Jean-Louis Saintain

Intervenants :
  • Sébastien Truchot, Responsable restaurant "Le Planetalis"
  • Pascale Follot, Responsable brasserie  " Le tigre"
  • Christine Martin, Adjointe au maire, déléguée à la Culture
A Dijon, le quartier Clémenceau, compte un nouvel habitant. La statue de Jean-Philippe Rameau, auparavant installée au centre-ville, trône désormais devant le Conservatoire. Sa présence doit renforcer la dimension artistique du quartier qui souffre d'un manque de dynamisme depuis plusieurs années. Reportage d’Isabelle Rivierre et de Jean-Louis Saintain


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