Un procureur chilien a déclaré vendredi au cours d'une conférence de presse que des informations avaient été transmises aux enquêteurs français sur le meurtrier présumé de Narumi, la jeune étudiante japonaise portée disparue à Besançon depuis le 4 décembre.
Plus d'un mois après la disparition de Narumi, une coopération semble s'être mise en place entre le Chili, pays d'origine de Nicolas Zepeda Contreras, le principal suspect du meurtre présumé de la jeune étudiante japonaise, et les enquêteurs français.
Vendredi, un procureur chilien a affirmé lors d'une conférence de presse que le Chili avait transmis des informations à la France, concernant notamment les déplacements et les comptes de l'ex-petit ami de la jeune femme, en fuite depuis sa disparition.
Un suspect qui, selon nos confrères du quotidien Le Parisien, aurait refait surface : dans un article paru ce dimanche, il nierait toute implication dans la disparition de Narumi et se dirait "prêt à collaborer avec Interpol" dans le cadre de l'enquête.