Le mouvement des gardiens de prisons, national et intersyndical, a été peu suivi ce matin en Franche-Comté. A Besançon, ils étaient une demi-douzaine à manifester devant la maison d'arrêt.
La mobilisation a été timide. A peine une demi-douzaine de manifestants devant la maison d'arrrêt de Besançon.
La pénitentiaire tente de motiver ses troupes mais les blessures du conflit de l'année derniere sont encore à vifs.
En janvier 2018, après trois semaines de mobilisation, les résultas avaient été mitigés...
Cette fois encore, les gardiens de prison espèrent une revalorisation de leurs rémunérations.
Un message bien difficile à faire passer en période de vaches maigres budgétaires...
En France, une quinzaine de maisons d'arrêt ont suivi le mouvement, dont celle de Besançon.