Le club doubiste a échoué 2 à 1 face au FC Metz lundi soir à l'occasion de la dixième journée de Ligue 2. Une nouvelle défaite marquée par des décisions contestées de l'arbitrage.
La série noire se poursuit pour le FC Sochaux-Montbéliard. Les Francs-Comtois se sont inclinés (2-1) ce lundi soir à domicile face au FC Metz pour le compte de la dixième journée de Ligue 2. Ils signent là leur quatrième rencontre de rang sans victoire, après un nul concédé à Nancy le 28 septembre dernier.
Après une ouverture du score par les Lorrains (Farid Boulaya, 55ème minute), les hommes de José Manuel Aira étaient parvenus à égaliser grâce à un centre de Madger Gomes que Jonathan Rivierez retournait dans ses propres buts (71ème minute). Mais un penalty, marqué par Opa Nguette, a mis fin aux espoirs du club, qui connaît une fin de rencontre à dix (carton rouge de Madger Gomes).
Bref, il n'y avait pas penalty. #FCSMFCM pic.twitter.com/oh48qPhGL4
— FCSM_officiel (@FCSM_officiel) 8 octobre 2018
A l’issue du match, le sentiment d’une victoire volée était forte au sein des rangs francs-comtois, déçus par les décisions de l’arbitrage – notamment un accrochage non sanctionné du gardien lorrain à Ermedin Demirovic en début de rencontre. « Quatre joueurs étaient en pleurs après le match, a réagi l’entraîneur de Sochaux, José Manuel Aira, à la fin de la rencontre. C’est dur de vivre ce sentiment d’injustice. »
José Manuel #Aira : "Je ne parle jamais des arbitres, qui ont une mission compliquée, mais je demande du respect pour l'histoire de ce club, ses supporters et ses joueurs. Quatre étaient en pleurs après le match. C'est dur de vivre ce sentiment d'injustice." #FCSMFCM
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Alors que Metz trône en tête, le FCSM conserve donc la quinzième position au classement (à égalité avec Châteauroux) à l’issue de la dixième journée de Ligue 2. La victoire devient de plus en plus pressante : seuls trois points séparent désormais le club de la zone rouge. Prochaine échéance : le FC Sochaux affrontera l’ESTAC Troyes le 19 octobre, sur la pelouse du stade de l’Aube.
