Au lycée Belin de Vesoul, en Haute-Saône, ils ont choisi une formation "arts visuels". Ils sont en ce moment au festival de Cannes. Voici leur carnet de voyage et leurs critiques de films.
Depuis 8 ans, des élèves du lycée Belin de Vesoul prennent la route du festival de Cannes. Un moment très attendu. Ils ont choisi une option "arts visuels" (leur site internet est ici). Le voyage à Cannes est l'occasion de découvrir une ambiance exceptionnelle. Et de plonger dans les univers de nombreux réalisateurs. Ils ont accepté de nous faire part de leurs impressions. Deuxième séquence !
La montée des marches de Cannes : un moment inoubliable
"Le grand soir est enfin arrivé, nous sommes devant, nos yeux brillent et c'est ce sont 35 de nos camarades qui ont pu monter sur ces marches fabuleuses éblouis par les flashes des appareils photos.
Nous rentrons tous fatigués de notre première journée à Cannes, riche en nombreux rebondissements...
Ce matin, le réveil était moins dur. Toujours avec les souvenirs de la veille, nous espérons pouvoir revivre les mêmes choses !
Après les petits rituels matinaux, nous repartons direction le studio 13.
Juste devant, le soleil nous réchauffe tranquillement avant l'ouverture des portes pour regarder "Marina" un film réalisé par Stijn Coninx de 2013.
Tout juste sortis de ce film d'une durée de 1 heure 58, nos espérances ont été atteintes car "Marina" n'était pas juste un prénom comme nous pouvions le supposer au début ,mais le titre d'une musique à succès et d'une histoire d'amour des années 50-60.
Ce film a séduit tout le monde; il a fait à vrai dire l'unanimité... C'est pour cela qu'on lui à donné la note de 8.5/10.
Une première projection décevante
Désormais, nous nous baladons tranquillement sur la plage, toujours avec ce petit soleil farceur qui nous brûle la peau !
Qu'est-ce qu'il fait bon à Cannes !
En direct, on voit que les mouettes cannoises sont très indisciplinées, car elles nous volent notre pique-nique...
Après cette petite pause bien méritée nous sommes repartis voir le film : "Casa grande", qui fut notre première déception depuis le début du festival."