Etat de catastrophe naturelle demandé

Le gel hivernal a causé beaucoup de dégâts dans les cultures. Les agriculteurs réclament des aides.

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Les températures très négatives de février et la succession de gels et dégels, avec de grosses amplitudes thermiques, ont provoqué beaucoup de pertes dans les cultures du Grand Est. Les agriculteurs sont inquiets.

La vague de froid de février a causé beaucoup de dégâts dans les cultures du Grand Est, en Bourgogne, Alsace, Lorraine et Champagne-Ardenne. En tout, ce sont 600 000 hectares de céréales qui ont été détruits par la vague de froid. 360 000 ha de blés, 160 000 ha d’orge et 80 000 ha de colza.

 Les agriculteurs souhaitent donc voir prononcer dans le Grand Est l’état de catastrophe naturelle. Dès lors, ils ne peuvent plus satisfaire aux obligations qu'impose l'Europe, comme la rotation des cultures. Ils désirent également voire le versement des aides PAC (qui a lieu en décembre) avancé en octobre pour aider plus rapidement les agriculteurs les plus touchés.

Car ceux-ci connaissent également des problèmes de trésorerie. 20% des champs auraient été ressemés en blé et en orge. Des charges en plus pour ses nouveaux semis. Enfin, les producteurs craignent un manque de paille pour cet été dans plusieurs régions car même si les champs ont été ressemés, la récolte sera moins importante.

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