Tout est démesuré aux jeux olympiques, les stades, les contrôles, l'émotion... les salles de presse n'échappent pas à la règle !
Des centaines de journalistes, et des contrastes saisissants.
Pendant les épreuves olympiques ces salles sont quasiment vides mais dès la fin des compétitions c'est l'affluence.
Photographes et journalistes accourent pour regarder leurs images, les traiter, et les envoyer à leurs organes de presse ou agences, le plus vite possible.
La plus belle photo ne sera pas forcément celle qui sera la plus achetée par les journaux du monde entier si elle arrive trop tard.
Tout est question d'argent; la photo doit exprimer une émotion, être différente de celles proposées par la concurrence, et là, elle aura une chance de faire le tour du monde.
Côté article de presse c'est la même chose; le rédacteur doit rapidement écrire son texte (son papier dans le jargon) pour le publier le premier. Celui qui édite le premier sur internet a de grandes chances d'être le plus lu, et c'est bon pour se faire connaître !
Pour l'anecdote, au fond de la salle de presse, il est possible d'acheter quelques sandwichs ou plats sous vide pour se restaurer. Sur le pouce. Ce qui donne des situations cocasses, avec des journalistes prêts à manger leurs spaghettis, avec des baguettes, sur leur clavier d'ordinateur...
Ou comment jouer avec le feu...
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