Première défaite dans le combat des élus aubois contre la fermeture de Clairvaux. Hier la justice a rendu sa décision. Le tribunal administratif a rejeté la requête de demande d’annulation des travaux de démolition.
La justice n’a donc pas interdit hier soir le prochain démarrage des travaux de démolition de certains bâtiments de la maison centrale de Clairvaux. Les élus locaux avaient décidé d’entamer cette première démarche judiciaire pour tenter d’interrompre le processus de fermeture de la prison de Clairvaux. Une décision qui a toujours beaucoup de mal à passer. En témoigne encore les mobilisations récentes devant l’établissement.
C’est le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne qui s’est penché sur le dossier. Les élus avaient donc demandé l’annulation du permis de démolir des bâtiments B et D de la maison centrale. La cour a décidé que ce permis était valide ce qui autorise donc la préfecture de l’Aube à entamer prochainement cette démolition.