Plusieurs de ces offres sont jugés "solides".
Le site d'Ascoval à Saint-Saulve est (à nouveau) à la croisée des chemins : plusieurs offres de reprise jugées "solides" ont été soumises ce lundi 25 mars, ont appris nos confrères du Monde.
En lice : le Britannique British Steel, l'Italien Calvi Networks, l'ancien président d'Ascometal Frank Suplisson ou encore l'industriel Pascal Cochez (qui s'était déjà positionné en octobre aux côtés de l'iranien Boost).
Le détail des offres n'est pas encore connu, mais les deux industriels (britannique et italien) sont jugés particulièrement crédibles. Le dernier n'a à ce jour publié qu'une lettre d'intention, a-t-on appris de source syndicale.
Une semaine clé pour Ascoval
Il s'agit d'une semaine clé pour les 281 salariés d'Ascoval, à qui le tribunal de Strasbourg a accordé il y a un mois un sursis, après l'échec de la reprise d'Altifort, faute de moyens.Pour éviter un nouveau faux espoir – la justice avait donné son feu vert en décembre à l'offre d'Altifort, sans s'apercevoir qu'elle ne tenait pas – ces candidats vont être scrutés à la loupe.