La mine de sel de Varangéville est la dernière de France.
Cinquante salariés travaillent encore au fond et continuent à produire du sel aux multiples usages.
La première utilisation du sel, extrait du sous sol de la mine de Varangéville (54) est le traitement des routes par temps de neige ou de verglas.
Mais le sel est également extrait, traité et produit pour d'autres usages, comme les salaisons, la chimie
Et tout se passe à 160 mètres sous terre.
Par le puits Saint Maximilien et son ascenseur, les équipes mettent une petite minute à arriver sur le gisement.
C'est ce même puits, qui depuis 1870, acheminent les ouvriers, par groupe de 7.
Les galeries d'exploitation se comptent par dizaines. Un dédale estimé à 150 kilomètres.
Des tirs d'explosifs, savamment contrôlés, sont effectués de nuit.
Ils permettront de dégager des pans entiers de sel, qui seront ensuite exploités et traités selon les usages désirés.