Suite de nos chroniques consacrées à la première guerre mondiale au quotidien... Direction le "Ravin du Génie", en Meuse, pour s'intéresser aux conditions de nos soldats, devant rester sur site durant les fêtes de Noël...
En ce temps là, les permissions étaient fort rares... Les militaires devaient donc rester sur le front, et très peu avaient l'occasion de retrouver leurs familles.
Pour que ce moment reste festif, des collectes ont été organisées pour que des cadeaux puissent être envoyés aux poilus ; cette opération a été baptisée "la journée du poilu".
Autre élément permettant de rendre ce moment festif, malgré l'angoisse et le doute commençant à s'installer dans la tête des soldats : le menu de ce repas de Noël...
Le doute s'installe petit à petit, alors que les assauts n'ont pas permis d'avancée massive durant l'année 1915, et que le front est durablement installé.
Tous ces thèmes, découvrez les dans notre chronique, racontés par Laurent Parisot...