Le Plessis-Grohan (Eure) : comment les agriculteurs bio tentent de limiter les dégâts

Avec des conditions climatiques difficiles, le bilan des moissons s'annonce déjà mauvais. Pour y faire face, les exploitants bio misent sur de nouvelles espèces.

Ne pas utiliser de pesticides, c'est bien le propre d'une agriculture bio. Mais quand la météo fait des caprices, il devient encore plus difficile d'assurer une bonne récolte. Cette année, ce type d'exploitation n'échappe pas à la régle. La moisson est certes médiocre, mais la qualité, elle, n'est pas si mauvaise.

Yves Vanhoecke experimente sur son exploitation de nouvelles cultures pour trouver des espèces plus résistantes, qui pourront ensuite assurer un bon rendement. Une fois que la bonne espèce sera trouvée, elle pourra alors être commercialisée.

VIDEO : un reportage de Marie Du Mesnil-Adelée et d'Emmanuelle Partouche avec les interviews de :

  • Yves Vanhoecke, agriculteur bio
  • Maddalena Moretti, technicienne grandes cultures au GRAB de Haute-Normandie

 

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