L'avocat de victimes des surirradiations du CHU de Toulouse-Rangueil a annoncé vouloir faire appel de la décision du juge d'instruction qui vient de prononcer un non-lieu.
Le juge du pôle santé du tribunal de Grande instance de Paris, chargé de l'affaire des surirradiation du CHU de Toulouse-Rangueil, a prononcé un non-lieu général.
L'avocat de certaines victimes, Maître Christophe Lèguevaques a aussitôt annoncé faire appel de cette décision devant la chambre de l'instruction :
146 personnes avaient été touchées par une erreur de réglage de rayons lors de traitement pour diverses maladies, notamment au cerveau en 2006 et 2007. Une commission, présidée par l'ancien ministre Claude Evin, était ensuite parvenu à un accord de dédommagement entre les victimes et le CHU de Toulouse. Plusieurs dizaines de patients avaient tout de même tenues à se porter partie civile dans ce dossier instruit pour "homicide et blessure involontaire".Irradiés du CHU Toulouse - le juge d'instruction conclut une instruction bâclée : NON LIEU. La chambre de l'instruction appréciera. A suivre
— christoleguevaques (@CLeguevaques31) October 7, 2013