Depuis 30 ans le service décoration de la ville de Perpignan s’occupe de l’encadrement et de l’accrochage.
Il y a trente ans, le premier festival comptait 800 photos, aujourd’hui c’est quasiment deux fois plus.
Il faut chasser la moindre petite poussière sur les cadres, apposer au millimètre près la légende du tirage, alors les petites mains toutes gantées de blancs, s’affairent. Parmi-elles, les mains de Jessica. Elle pratique la photo, et se destine au journalisme. Le festival, elle connaît ! Mais c’est la première fois qu’elle en découvre les coulisses.
Le reportage de Dorothée Berhault et Jean-François Puakavaze
durée de la vidéo: 01 min 18
Perpignan : derniers préparatifs pour visa pour l'image
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©F3 LR
Cette année la programmation reste fidèle à sa marque de fabrique: donner à voir "ce qu'on n'a pas envie de voir". : maux et désordres en tous genres qui secouent la planète: conflits, problèmes environnementaux ou sanitaires, migrations... Parmi les photographes exposés, Samuel Bollendorff proposera "contaminations", un tour du monde des zones rendues invivables par la radioactivité et les industries chimiques et minières.